À peine dix mois après son lancement, lecollimateur.ma semble beaucoup déranger certains milieux espagnols résolument hostiles au Maroc. Ignacio Cembrero, qui garde une rancune féroce contre notre pays, est au service de leurs agendas exécrables. Ce n’est pas un hasard s’il avait été chassé comme une guigne du Maroc, où il s’était découvert la curieuse vocation d’avatar d’”opposant” mais avec tous les privilèges d’un séjour doré. On a alors espéré que ce coup de balai lui servirait de leçon, pour revenir aux fondamentaux du journalisme, le vrai, et peut-être à de meilleurs sentiments envers notre pays.
Or, il n’a rien compris. Et ce n’est surtout pas ce énième article paru hier dans les colonnes nauséeuses du site français “Orient XXI” qui dira le contraire. Dans cet article au titre très ronflant: “Sahara occidental: chantage marocain à l’immigration pour faire plier l’Espagne”, il s’est autorisé à planter une pique sournoise et malveillante à “la presse inféodée au palais royal marocain”, citant nommément lecollimateur.ma dont le “délit” semble-t-il est d’avoir épinglé dernièrement la MAE espagnole Arancha Gonzalez Laya, pour son déni des droits légitimes du Maroc sur Sebta et Melilla et le Sahara. “Le Collimateur, un de ces sites marocains que personne ne lit, mais qui sert parfois à faire passer des messages”, a-t-il éructé, sans réaliser que sa visite de notre journal porte à 80.000 le nombre de nos visiteurs et nos fidèles lecteurs par mois.
Un record au regard des 10 mois d’existence. Et le meilleur est à venir.
Mais passons car il y a grave. Cembrero fait part des “craintes” du gouvernement espagnol… ou bien il parle en son nom… en associant notre pays à des faits très graves… commis en 2014 par des criminels affiliés à Al Qaeda dont le Maroc fut aussi victime.
Selon Ignacio: ” Le gouvernement espagnol craint que Rabat ne passe à la vitesse supérieure et déclenche une grosse crise migratoire ou coupe la coopération antiterroriste, comme il l’avait déjà fait en août 2014″!!
Les horribles attentats de Madrid de 2014 ont été marqués par un incroyable cafouillage de communication de José Maria Aznar. Une très grave accusation sur laquelle Cembrero doit s’expliquer. Le gouvernement espagnol doit se démarquer de ces propos irresponsables.
Ce Cembrero manipule l’histoire et les faits comme un vulgaire journaliste algérien relevant du DRS/DSS. Être dans la mimesis de la propagande et l’intox algérienne, ce n’est certainement pas un honneur pour un Cembrero en fin de carrière.
Triste!
le collimateur