Tout d’abord, un camp de réfugiés est constitué de logements précaires et temporaires afin d’y accueillir des personnes déplacées contre leur gré et est érigé par des gouvernements ou des ONG’s telles que la Croix-Rouge ou Croissant Rouge. C’est un espace humanitaire artificiel, fondé sur un système urbain pour une durée limitée à la suite d’une catastrophe naturelle ou d’une crise politique.
Or à Tindouf il existe de nombreux camps de torture et d’exécution tel celui dit camp Rachid destinés aux Sahraouis embastillés dans les camps de la honte qui tentent de balbutier le mot démocratie et notamment contre ceux qui s’opposent aux thèses polisariennes et ce, aux bons soins des caporaux algériens.
Plusieurs de ces anciens prisonniers du camp Rachid ont pu rejoindre leur Mère-Patrie qu’est le Maroc mais ils sont constamment sous la menace polisarienne d’une liquidation physique en donnant ordre à leurs sbires de l’intérieur des Provinces sahariennes marocaines de les exécuter de manière abominable et ce, au cas où ils dénonceraient les crimes polisariens contre les Sahraouis marocains détenus à Tindouf sur le sol algérien.
Aussi, est-il devenu plus qu’urgent pour les organisations de défense des Droits Humains agissant au niveau international d’inscrire dans leurs dossiers les militants Sahraouis marocains à qui le polisario cherche la mort, et à demander à l’Algérie de remettre les terroristes qui menacent de les tuer à la justice internationale.
L’implication directe des dirigeants algériens dans ces crimes du camps Rachid et de tant d’autres est prouvée. Le polisario a assassiné, avec le soutien des caporaux algériens, cadres et intellectuels sahraouis dans la prison du camp Rachid.
Des polisariens qui ont vendu leurs âmes et qui resteront à genoux comme des marionnettes toute leur vie à l’ordre du régime fasciste du Palais de la Mouradia d’Alger.
Farid Mnebhi.