L’inflexibilité de la classe politique algérienne sur le dossier du Sahara persiste et le différend avec le Maroc sur la question des frontières est loin d’être clos. Au-delà du passif historique et de la floraison des soutiens continentaux et mondiaux au plan marocain pour l’autonomisation de ses provinces du sud, l’Algérie poursuit ses manœuvres contre la stabilité de la zone.
Pendant que Royaume du Maroc, depuis 1975 année de la Marche Verte, investi des milliards de dollars dans le développement (routes ; écoles ; hôpitaux ; entreprises ; etc….) de ses provinces du sud pour la plus grande satisfaction des populations, l’Algérie arme le Front Polisario au point d’oublier de s’occuper de son peuple qui est confrontée à une crise économique et alimentaire depuis plusieurs années, un peuple algérien qui assiste impuissamment aux détournements sans vergogne des aides internationales et subit que des répressions violentes et sanglante aux mépris de ses droits fondamentaux et élémentaires.
Pour une énième fois, l’Algérie vient de pousser le pseudo-rad à une fallacieuse sortie médiatique.
Il ne peut s’agir que d’une sortie médiatique fallacieuse en Côte d’Ivoire, pays frère et ami du Maroc par excellence, qui contribuera, sans aucun doute, à un étiolement supplémentaire, à l’échelle internationale de la crédibilité du front séparatiste, dont les ‘’hauts faits d’armes’’ en termes de violations des droits de l’homme, de trafic d’armes, de drogues, de personnes, et de détournements de l’aide alimentaire offerte à ses propres populations séquestrées dans les tristes camps de Tindouf n’est plus à démontrer, ni à documenter.
A travers cette longue interview accordée à un quotidien de la place, L’on s’aperçoit très rapidement des accusations mensongères de Mohamed Salem Ould Salek du front Polisario où il présage de la résurgence d’une guerre entre le Royaume du Maroc et le front Polisario. Une affirmation dénuée de tout fondement factuel et fictive à l’image de la pseudo-rasd. Ce dernier, dans ses commentaires, tronque les faits passés et pointe un doigt accusateur sur le Royaume Marocain, sans preuves aucune.
A la lumière des faits, la région du Sahara Marocain a toujours été le centre et le théâtre de conflits d’intérêt suscité par les séparatistes du Front Polisario aidés, soutenus, et financés en cela par l’Algérie, un pays voisin du Royaume Chérifien. Alors même qu’une initiative du Maroc auprès des Nations Unies en faveur d’une autonomie de la région datant depuis 2007 est réfutée et même boycotté par les séparatistes et leur soutien, des mains obscures menacent la paix dans la région.
Reconnu par une grande partie de la communauté internationale, la souveraineté marocaine sur le Sahara est sans ambages. La plus grande preuve est l’ouverture récemment de plusieurs consulats dans les provinces du sud du Royaume, ce qui souligne la reconnaissance de la souveraineté du Maroc, mais aussi un engagement clair de ces pays, dont la Côte d’Ivoire, de contribuer à la paix et stabilité de cette région, mais aussi de l’Afrique de l’Ouest en général
La reconnaissance pleine et entière de la Souveraineté du Royaume du Maroc le 10 décembre 2020, par les Etats Unis d’Amérique, sous la houlette du Président Américain d’alors Donald Trump est un acte souverain de la Première puissance mondiale qui ne laisse aucun doute sur le bien-fondé et sur la légitimité du Royaume du Maroc sur ses provinces du Sud. Une reconnaissance confirmée par le porte-parole du Département d’Etat américain sous la présidence Biden, lorsqu’il a affirmé, récemment que cette position des USA ne connaîtrait aucun changement.
Mieux, cette position américaine et le ballet incessant d’implantations des représentations diplomatiques de différents pays dont la Côte d’Ivoire fait partie montrent clairement l’adhésion du monde au plan de résolution proposé par la Royaume du Maroc sous l’œil vigilant et conciliateur de SM Roi Mohammed VI.
En effet, l’initiative, sincère et constructive, du Maroc, pour la négociation d’un statut d’autonomie de la région du Sahara ne date pas d’aujourd’hui. En effet, conformément à la volonté du conseil de sécurité de l’Onu, invitant les parties à une coopération pleine et entière en vue d’une solution politique définitive de ce différend territorial qui est dans sa cinquième décennie le Maroc a proposé une solution pérenne et satisfaisant pleinement les attentes légitimes de cette région
Pour le Royaume Chérifien, la reconnaissance de la souveraineté du Sahara Marocain implique notamment un processus de dialogue et de négociation débouchant sur une solution mutuelle acceptable par tous. C’est pourquoi, dans les dispositions qui consacrent l’autonomie de la région du Sahara, le Royaume Chérifien consent à son territoire toute son autonomie en matière de ressources financières nécessaires à son développement, avec en toile de fond une administration interne autonome en matière sécuritaire, fiscale, et législative.
L’initiative positive du Royaume du Maroc est allée plus loin en prenant en compte des mesures nécessaires en vue d’une amnistie générale et la cessation de toutes poursuites pénales, de détention, d’emprisonnement, ainsi que l’inclusion dans la constitution Révisée de 2011, de cette autonomie garantissant les libertés individuelles et démocratiques de la région du Sahara.
Le Royaume du Maroc, fidèle à son ouverture sur le monde et l’Afrique a toujours prôné le dialogue et la paix comme voie de règlement des différends et affirme une détermination absolue à défendre son territoire et ses populations contre les menaces obscures du Sieur Ould Salek et de ses soutiens.
Soucieux du bien-être des populations des provinces du sud, le Royaume du Maroc militera avec honneur et dignité pour une résolution définitive et cohérente de cette crise vieille de 5 décennies dont les effets impactent l’économie de certains États de la région.
Kamana 2NB
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