L’humanitaire américaine, Madame Nancy Huff, vient de sortir, tout récemment, un livre titré « Danger dans le désert. Voyage d’une femme en quête de justice et de vérité » dans lequel elle démontre la manière dont les pontes polisariens volent les séquestrés sahraouis marocains des camps de la mort de Tindouf.
Son expérience acquise après près de quinze années passées dans ces camps polisariens, elle a découvert que la cause exacte de ce drame n’était que la cleptomanie des pseudo chefs polisariens, véritables voleurs et marchands d’aides humanitaires.
En effet, Nancy Huff a pu constater que la très grande majorité des aides humanitaires en provenance d’ONG’s internationales, dédiées à des groupes de familles clairement ciblés et identifiés, se retrouvaient dans les magasins des dirigeants polisariens, en attendant d’être vendus dans des marchés algériens, mauritaniens et d’autres des pays du Sahel après prélèvement d’une forte taxe par les responsables algériens.
Au final, Nancy Huff, après avoir été bernée sur le vrai visage du polisario, a pu comprendre, à mesure de ses discussions avec les enfants et les femmes des camps de la honte sis à Tindouf, la véritable réalité de ce qui se cache derrière le soi-disant peuple sahraoui.
Des séquestrés Sahraouis marocains en plein Tindouf auxquels on devrait leur donner la liberté d’aller vivre dans leur pays d’origine qu’est le Maroc car leur avenir est dans ce pays et nul part ailleurs.
Il n’en fallait pas plus, pour que la direction polisarienne décide de boucler l’accès des camps de la mort de Tindouf et ce, à compter du 20 janvier 2021. Une décision destinée à appuyer la campagne de propagande sur la guerre que prétend livrer le polisario contre le Maroc.
La fermeture est vécue comme une restriction de plus à la libre circulation de la population des camps de Tindouf. De hauts cadres du polisario mènent une tournée dans les camps pour expliquer aux séquestrés Sahraouis marocains les décisions prises par le pseudo secrétariat général polisarien,
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’un tel verrouillage est décrété dans la région. En 2019, en plein Hirak en Algérie, le pouvoir militaire avait ordonné au polisario de réduire drastiquement les autorisations de sortie des camps pour les voitures et autres camions au grand dam des commerçants. Le régime algérien craignait alors une fuite d’armes des camps vers le reste du pays.
Au fait à quand ce grand corridor sécurisé par les forces onusiennes pour permettre aux Sahraouis marocains embastillés à Tindouf de rejoindre librement le Maroc, leur Mère-Patrie ? Une urgence absolue pour tout défenseur des Droits de l’Homme, n’est-ce pas Messieurs les caporaux algériens.
Farid Mnebhi.