Il est acquis que le Maroc était disposé à apporter toute son assistance à ses ressortissants sahraouis séquestrés dans les camps de la honte de Tindouf en Algérie en leur fournissant, via la MINURSO, 20 000 doses de vaccins contre la COVID-19.
Une aide que le Roi Mohammed VI, connu pour ses positions humanitaires envers les plus vulnérables, notamment les ressortissants marocains embastillés contre leur gré dans des camps militaires où leur sont imposés un diktat contraire aux principes du Droit International, a présenté aux autorités algériennes afin que ces vaccins soient inoculés aux sahraouis marocains embastillés dans les camps de la mort de Lahmada et ce, après l’envoi d’une aide humanitaire de 800 tonnes de denrées alimentaires de première nécessité.
Une initiative louable du Royaume du Maroc envers ses citoyens embastillés dans les camps sis à Tindouf et est la démonstration formelle que le régime algérien use comme il lui plaît afin de quémander aide alimentaire et autres et surtout de les détourner à son unique profit mais aussi à ses sbires polisariens.
Cette approche du Maroc prouve, si besoin est, que les séquestrés de Tindouf sont bien des détenus marocains et que le Maroc pense à ses citoyens. Cette initiative commémore la précédente initiative entreprise par le Maroc lorsque les Nations-Unies ont alerté l’état de négligence intentionnelle auquel environ 45 000 résidents de ces camps de la mort sont exposés.
Ces initiatives embarrassent le régime militaire algérien et dénoncent l’idée qu’il défend un peuple présumé, lui qui se vante de défendre la cause sur la base des principes internationaux au moment même où il dépense des milliards dans la campagne de propagande contre le Maroc et ce, au moment même ou ce régime de caporaux a été incapable de fournir le vaccin contre le coronavirus même au peuple algérien. Il n’a pu disposer que de cent mille doses d’une manière similaire à de la mendicité auprès de ses amis de la Russie.
Force est donc de souligner que le régime algérien ne fait pas le nécessaire, ni envers son peuple ni envers les habitants des camps des séquestrés sahraouis marocains, utilisés par l’Algérie comme carte de chantage devant la communauté internationale.
En conclusion on peut dire que si le régime algérien interdit l’accès aux camps des réfugiés sahraouis marocains embastillés à Tindouf est qu’il cache beaucoup de choses, que ce soit le nombre de leurs résidents et leur désir de rentrer dans leur Mère-Patrie, le Maroc, mais aussi, et surtout le contrôle des réfugiés par des bandes armées ainsi que groupes terroristes à leur solde qui pullulent sur son territoire et en zone sahélo-saharienne.
Farid Mnebhi.